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Étude de cas

Michael

PHOTO MIKE OK CREDIT

Michael, triathlète longues distances, me sollicite en avril 2021. Il a déjà expérimenté les bienfaits de l’accompagnement énergétique, à travers 3 séances de Reiki effectuées ensemble quelques mois plus tôt : allégement de la charge mentale, relation corps/esprit plus fine, relâchement physique pendant et en dehors des séances d’entrainements, sont les constats qui ressortiront de cette première expérience. Cette fois-ci, sa demande est plus précise, et son objectif est même daté : être dans le top 10 de l’Half IronMan des Sables d’Olonne, épreuve se déroulant le 4 juillet 2021 qualificative pour les mondiaux prévus en septembre de la même année.

Michael BizTriathlète longue distance expérimenté

ObjectifQualification aux Mondiaux Half IronMan 2021

OutilsReiki, méditation guidée, intelligence émotionnelle

Durée2 mois / 9 séances de 1h à 1h30

Après avoir fait un point sur ses besoins, nous échangeons sur ses ressources et ses freins. A partir de cet instant, nous définissons ensemble le nombre de séances idéales, le planning jusqu’au jour J en découlera naturellement. Cela s’inscrit dans un programme de préparation physique et technique établi en amont, et un parcours médical déjà en place.
Les premières séances portent sur le corps énergétique, faire qu’il soit le fluide possible pour aborder les questions émotionnelles avec un maximum de clarté.

Le triathlon est un sport qui cumule les exigences de 3 disciplines (natation-vélo-course à pied) avec les incertitudes liées à la météo. Également, les transitions entre ces 3 sports demandant un équipement différent, sont des moments de hautes intensités où la course peut basculer. Le fait est que Mickael est déjà très bon sur cet aspect-là. On y grapillera quand même quelques secondes. Aussi durant une épreuve qui s’étale généralement entre 4 et 6 heures d’effort, l’athlète gère plusieurs moments de bonnes sensations, comme d’instants plus compliqués dans la tête ou dans le corps. Là aussi, les qualités mentales de l’accompagné lui permettaient de faire face à ses montagnes russes. Sauf dans une situation : quand il se rendait compte qu’il était en mesure de faire un excellent chrono. Cet instant arrive toujours au début de la course à pied, là où on a « plus de temps », où l’analyse de la situation par le mental est plus aisée. Et la Peur de Réussir faisait son œuvre : souffle moins relâché et plus court, corps et cerveau moins bien oxygénés, sensation soit de « jambes dures » soit de « jambes coupées », et système digestif impacté (fringale ou nausée). Avoir conscience du frein est la première étape vers sa résolution. En parler demande authenticité et courage, et c’est le lien de confiance existant entre nous qui a permis à ces deux qualités de s’exprimer à 100%. A partir de là, nous sommes allés à la rencontre de cette émotion « Peur », pour mieux la comprendre, mieux connaitre ses cheminements, puis pouvoir la transformer en ressource lorsqu’elle fait son apparition.

D’abord merci Yann pour ton travail en général, tu es top. Tu as su faire ressortir le meilleur de moi-même car j’avais peur de réussir. Niveau sportif c’est top, et même dans ma vie pro et perso, cette gestion de mes émotions est pour moi un réel gain de bien-être. Le gain de confiance en moi est énorme, ma manière d’approcher l’évènement était fluide, tout était écrit dans ma tête.

Michael Biz.

Conclusion :
En ayant le courage de faire face à cet écueil, Mickael s’est offert la possibilité d’exploiter son potentiel plus en profondeur.

Il finira 8ème de cette course, et se qualifiera pour les mondiaux. Sa réussite tient avant tout à son engagement dans tous les domaines de sa pratique (physique, psychologique, énergétique et technique) et à sa lucidité face à ses points d’amélioration. Il a su mobiliser ses 3 intelligences (cœur, corps, tête) et acquérir des fondamentaux d’une 4ème (intelligence émotionnelle). Chapeau !

En travaillant sur la course, il a pu améliorer sa façon de l’aborder. Un gain de sérénité qui permet de ne pas brûler d’énergie à l’approche du rendez-vous.

Cette plus grande sérénité dans son sport, il la retrouve dans son quotidien d’Homme, et dans son métier. Une sorte de super bonus qu’il faut savourer, finalement encore plus qu’une qualification à des mondiaux.

Crédit Photo : Le Journal des Sables