Le zèbre.

L’un des rares équidés que l’Homme n’a pas su domestiquer.

Ses rayures blanches sur une base de couleur noir lui permettent de reconnaitre ses congénères.

Et aussi, ce motif singulier dans le monde animal lui permet étonnement de passer inaperçu…

Arriver à se fondre dans la masse en étant indomptable intérieurement et flashy extérieurement, voilà le défi quotidien de l’ensemble des zèbres.

Ils sont haut potentiel intellectuel, émotionnel ou les deux, précoces, surdoués, parfois neuroatypiques, souvent hypersensibles… mais souvent ces termes biaisent la relation à soi ou/et aux autres, d’où le terme de zèbre afin faciliter les présentations.

Ce qui qu’il faut surtout retenir, c’est que le zèbre à d’autre façon de penser, ressentir, et appréhender le monde.

Son fonctionnement est différent, et souvent plus rapide.

Et s’il est parfois recherché dans le cadre professionnel, sa singularité n’arrive pas toujours à s’exprimer dans le collectif d’une entreprise.

Pire, la situation peut-être source de Risques Psycho-Sociaux sérieux.

En comprenant sa singularité, en créant un lien entre le monde qui l’entoure et son univers propre, en agissant intelligemment afin d’éviter la stigmatisation, les résultats vont toujours dans le bon sens.